Bureau du Spoutnik
4 place des Volontaires
1204 Genève
cinema@spoutnik.info
+41 (0)22 328 09 26
Horaires irréguliers
PERMANENCE
Programmation: Tom Bidou & Nathan Lachavanne
Comptabilité: Karen Blanche
Graphisme: Andrea Bonnet, Xavier Robel, Eva Rittmeyer
LE COMITÉ
Camille Vanoye
Basile Dinbergs
Arthur Miserez
INFO
Le but du collectif Spoutnik est de montrer des films se situant en dehors ou à la frontière des réseaux traditionnels de commercialisation, tant par leurs spécificités esthétiques que par leurs formats (Super-8, 16mm, 35mm, et vidéo) et leurs durées (courts, moyens, longs et très longs métrages).
Nous essayons de mettre en place une politique de programmation qui permette à long terme d' approfondir le lien entre spectateur·rice, création cinématographique et réseaux de programmation parallèle.
Avec l’appui de l’Etat et de la Ville de Genève,
Département des affaires culturelles et de la Loterie Romande.
Site développé par Gabriel Zambrano
Design graphique par Mat* Avogadro
Archives par Daniel Siemaszko
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Heures d’ouverture
Horaires irréguliers
Programmation: Tom Bidou & Nathan Lachavanne
Comptabilité: Karen Blanche
Graphisme: Andrea Bonnet, Xavier Robel, Eva Rittmeyer
LE COMITÉ
Camille Vanoye
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Le but du collectif Spoutnik est de montrer des films se situant en dehors ou à la frontière des réseaux traditionnels de commercialisation, tant par leurs spécificités esthétiques que par leurs formats (Super-8, 16mm, 35mm, et vidéo) et leurs durées (courts, moyens, longs et très longs métrages).
Nous essayons de mettre en place une politique de programmation qui permette à long terme d' approfondir le lien entre spectateur·rice, création cinématographique et réseaux de programmation parallèle.
Avec l’appui de l’Etat et de la Ville de Genève,
Département des affaires culturelles et de la Loterie Romande.
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1991 - Première édition du festival Black Movie au Spoutnik
Buddies tire sa valeur avant tout en tant que premier film sur le thème du SIDA. Une oeuvre dans laquelle la proximité de la mort n'est ni niée ni embellie.
En signe de deuil aux victimes du SIDA, chaque jour plus nombreuses, des centaines de personnes se sont mises à l'oeuvre : lentement, des collines autour de la Maison Blanche se couvrent d'un gigantesque ouvrage de tissage collectif. Chaque maillon représente une personne emportée par la maladie.
Frank, un jeune homme congédié de son emploi de steward à la Lufthanza, est revenu d'un voyage à Rio de Janeiro infecté par le virus du SIDA. Une amie cinéaste lui propose de tourner un film. Ensemble, ils s'envolent pour le Brésil et nous emmènent dans les repères nocturnes de Rio.
Nul ne peut comprendre la colère et le radicalisme des artistes new-yorkais dans la lutte contre le SIDA s'il ne connaît pas l'étendue de cette catastrophe dans la grande pomme.
Price, cloué à son fauteuil roulant, chante et marque le rythme de la chanson "I've got less time than you". Un spectacle courageux, tragi-comique et douloureux.
Frank, un jeune homme congédié de son emploi de steward à la Lufthanza, est revenu d'un voyage à Rio de Janeiro infecté par le virus du SIDA. Une amie cinéaste lui propose de tourner un film. Ensemble, ils s'envolent pour le Brésil et nous emmènent dans les repères nocturnes de Rio.
Le 2 juillet 1984, à la conférence de presse annonçant la création de l'Aide Suisse contre le SIDA", l'aveu d'Andre Ratti fir sensation, provoquant de vives réactions dans la population. Un homme de télévision, que les Suisses alémaniques connaissaient par son émission MTW, avait eu l'audace d'évoquer publiquement les deux tabous majeurs de notre société : le sexe et la mort.
"Le vent m'a jetée à terre. Il ventait fort. J'avais de misère à avancer. Cela traduisait ce qui se passait au dedans de moi. J'avais seulement envie de hurler et le vent hurlait pour moi, parce que moi, je n'avais aucune réaction..."
Trois témoignages de femmes.
Film d'animation, fiction documentaire.
Une balade cinématographique et littéraire dans les rues de Paris sur les traces des poèmes de Raymond Queneau.
Petite cosmogonie porte-à-faux : le monde s'anime : l'immobile hésite, l'homme se meut, l'automobile s'arrête. La création du monde pose pour le photographe ; le trait file vers sa fin. Alternance du fixe et du mouvant, du mouvement et de sa fixation : c'est bien celle d'une cosmogonie. (Alain Monnier)
La part du visuel - films expérimentaux canadiens d'aujourd'hui
"Supposedly an abstract road movie, the film records Canada’s urban and rural landscape through ingenious filmic concepts which result in a reflection on the medium’s illusionist background."Xcentric
La part du visuel - films expérimentaux canadiens récents
Snow nous pousse à accepter des moments présents de visible, mais l'unique coup de tambour coïncidant avec chaque coupe dans cette partie élégiaque annonce à chaque instant la disparition irréversible de la vie.
Philip Monk, Art Express