novembre 2016




EMPATHY

SORTIE DU MOIS
EN PRÉSENCE DE JEFFREY DUNN ROVINELLI


New York, Pittsburgh, Los Angeles, trois villes et trois étapes et états que traverse Em, une jeune femme escort girl et héroïnomane. Empathy retrace le portrait de cette dernière, à la limite entre autobriographie et fiction - le film ayant été en partie monté par Em et le réalisateur new-yorkais.

MANNERLAATTA

SORTIE DU MOIS
EN PRÉSENCE DE MIKA TAANILA


Ce film d’immersion transcrit les différents stades d’anxiété qui surviennent lors d’un voyage intercontinental, entre notamment la peur de voler, les contrôles de sécurité et les interminables attentes dans les halls d’aéroports. Livrant une véritable étude sur les perceptions altérées du temps et de l’espace, “Mannerlaata” met en scène les épuisantes sollicitations d’un magma chaotique inhérent au voyage, tout en formulant une fine poésie tirée d’une incohérence générale.

LE BARON DE CRAC

JEUNE PUBLIC DÈS 10 ANS


A peine arrivé sur la lune, le cosmonaute Tonik va de surprise en surprise. Il rencontre le Baron de Crac qui décide de l’emmener sur Terre dans un navire volant. Ils atterrissent à Constantinople où ils délivrent une belle Bianca prisonnière du sultan et secrètement éprise de Tonik. Furieux, le sultan se lance à leur poursuite et les aventures commencent. Mêlant trucages loufoques, gravures inspirées de Gustave Doré et personnages réels, Zeman signe un récit fantastique à l’imagination sans limites.

VOIX OFF / BERTRAND SCHEFER

RENCONTRE / LECTURE
EN PRÉSENCE DE BERTRAND SCHEFER


VOIX OFF est un rendez-vous de l’Atelier d’écriture de la Haute école d’art et de design - Genève. A un rythme régulier, l’Atelier se déplace et invite un auteur (artiste, écrivain, poète, éditeur, traducteur) à donner une lecture publique. Ce moment, pensé comme un mode singulier de l’expérience d’une voix, vient élargir le spectre des situations de transmission mises en oeuvre dans l’Atelier autour des pratiques de l’écriture.

STRETCHING THE THING – AFRICAN GHOST VALLEY

PERFORMANCE AUDIOVISUELLE


L'idée est ici de prendre le contre pied de la fonction de trailer et d'étendre sa durée pour créer ainsi un espace visuel inédit auquel African Ghost Valley viendra additionner son univers sonore. Pour cette performance au Spoutnik, le trailer choisi sera celui de “The Thing” de John Carpenter.

LE CORPS INDESTRUCTIBLE

SOIRÉE EN COLLABORATION AVEC BAMBA TRISTE
EN PRÉSENCE DE MOTHER FAKIR


« Mon corps est paille, bois, brique, je le démolis d’un souffle si j’en ai envie, I’m from Texas you know...». Mother Fakir, artiste performeur extrême et physique, sera au Spoutnik pour présenter “Karrosserie”. La performance sera suivie par la projection de “Tetsuo” de Tsukamoto Shinya, film fondateur du cyber-punk trash à excroissances métalliques.

FRANKENSTEIN MEETS THE SPACE MONSTER

SÉANCE PSYCHOTRONIQUE


La belle princesse martienne Marcuzan et son âme damnée, le nain efféminé Nadir, atterrissent discrètement à Puerto Rico pour capturer des femmes afin de repeupler leur planète. Entretemps, une fusée de la NASA avec à son bord Frank Saunders, un androïde, se crashe dans le même coin. Survivant mais défiguré, Frank devient Frankenstein et devra affronter le mutant spatial Mull.

IL N’ÉTAIT UNE FOIS UN RIEN

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016
EN PRÉSENCE DE BORIS MITIĆ


Pour la Biennale de l’Image en Mouvement, Boris Mitić présentera la parabole impressionniste Il n’était une fois un Rien. Dans cette parabole documentaire satirique, le Rien, dégoûté d’être incompris, fugue et s’adresse à nous pour la première et dernière fois. Les propos du Rien, distillés au travers de la bibliographie la plus éclectique utilisée à ce jour dans un documentaire, sont illustrés métaphoriquement par des images documentaires uniques, filmées par des douzaines de cinéastes du monde entier, réunis grâce à un brainstorming anonyme en ligne, présenté en parallèle du film.

THE CHALLENGE

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Le film The Challenge, présenté dans le cadre de la BIM 2016, suit le voyage d’un artiste qui endosse le rôle d’anthropologue, en explorant les coutumes et activités des Qataris, habitants du golfe Persique. Ces derniers ont attiré l’attention du monde médiatique ces dernières années, notamment par leur rythme de vie atypique et l’exubérance de leurs fortunes : un monde techno-capitaliste, où les signes de richesse et de puissance (or, armes et autres voitures de sport) sont omniprésents. Le film révèle entre autres l’utilisation de faucons rares et onéreux, notamment lors de chasses rituelles.

SOLTAR

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Pour la Biennale de l’Image en Mouvement, Jenna Hasse réalise Soltar, une fiction autour de Margaux (incarnée par l’artiste) et Bruno, et leur périple en direction du Portugal. Une tension croissante se fait sentir tout au long du film, causée par l’instabilité de Bruno qui souffre de paranoïa. L’artiste place ses protagonistes au cœur d’une dualité, deux mondes impossibles à concilier pour Bruno. L’environnement dans lequel le couple se trouve tient un rôle important, en matérialisant et amplifiant cette dualité : la vie en société, symbolisée ici par la foule et les danses frénétiques de festivaliers, et la vie naturelle figurée par la beauté et l’immensité des plages et de l’océan.

MANGEURS DE CUIVRE

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Bodil Furu présente lors de la Biennale de l’Image en Mouvement Mangeurs de cuivre, un film décrivant la complexité du monde industriel minier en République Démocratique du Congo. Le film suit un chef local, un homme d’affaires ou encore un travailleur du développement et présente diverses positions et motivations relatives à l’influence de l’exploitation du cuivre sur les villages et, de manière plus large, sur le pays tout entier. En témoin silencieux, le paysage est présenté avec d’immenses aménagements. Le film dresse un portrait analytique de l’ordre du monde néocolonial, sur le mode de la controverse, tout en laissant la fin ouverte.

ARIA

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Emilie Jouvet présente dans le cadre de la Biennale de l’Image en Mouvement un film intitulé L’enfant que j’étais, l’adulte que je suis, l’enfant que j’aime(rai) (titre provisoire) abordant la question de la parentalité queer et de la construction identitaire et familiale qui en découle. Avec des portraits croisés, des visages penchés sur son ventre de femme enceinte, la réalisatrice dessine autant d’histoires et de réflexions autour de la maternité, de la parentalité, du désir ou non d’enfant, de la filiation, ou encore de l’enfance. Le film, tourné intégralement au smartphone, propose un voyage intime, des paroles sensibles, drôles ou émouvantes, tel un “album de famille” contemporain.

L’INFINITA FABBRICA DEL DUOMO

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Massimo D’Anolfi et Martina Parenti présentent lors de la Biennale de l’Image en Mouvement L’Infinita Fabbrica del Duomo, un documentaire poétique prenant l’activité permanente de conservation et restauration du Dôme de Milan comme motif pour explorer les notions d’infini et de vertige du temps. Ce film est l’un des chapitres de leur dernière production Spira … Continued

SAMBA NO ESCURO

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Obscuro Barroco, le film proposé par Evangelia Kranioti pour la Biennale de l’Image en Mouvement, est un conte sur l’illusion et la métamorphose. Tourné à Rio de Janeiro (Brésil) peu avant les Jeux Olympiques, cette fiction documentaire explore l’hédonisme de la cidade maravilhosa dans ses rituels urbains et ses questionnements liés au sexe. De la bacchanale du Sambodrome au carnaval des favelas, à travers spiritisme et transsexualité, deux créatures — un clown errant et la reine des travestis cariocas — racontent l’histoire de leurs corps en perpétuelle transformation.

GENESEE + SIOUX RAPIDS

BIENNALE DE L’IMAGE EN MOUVEMENT 2016


Pour la Biennale de l’Image en Mouvement, Alessio Di Zio présente Genesee et Sioux Rapids, deux courts-métrages fantastiques improvisés, tournés dans des environnements artificiels, et mettant en scène des instants d’une magie déroutante, des fictions, des images iconiques ainsi que des esquisses de ses propres fantasmes et rêves.

EXPO: LE NOVA S’AFFICHE + LA MICROBOUTIEK DU NOVA

MONSTRE FESTIVAL 2016
LE NOVA AU SPOUTNIK!
EN PRÉSENCE DE L'ÉQUIPE DU CINÉMA NOVA


Au début mensuel, puis bimestriel, le programme du Nova "toute boîte" n'a pas toujours eu le même format, ni le même graphisme, variant selon les thèmes abordés ou les bénévoles en charge de sa confection. Comme pour ses affiches et flyers d'ailleurs, imprimés souvent selon la technique riso qui met en avant l'aspect artisanal de la programmation. Dans l'impossibilité de montrer les 157 programmes imprimés jusqu'à ce jour, le Nova a donc préféré exposer ses stencilés les plus marquants, non sans proposer d'anciens programmes choisis autant pour leur qualité rédactionnelle, que leur graphisme singulier.

DRÔLES DE COURTS

MONSTRE FESTIVAL 2016
LE NOVA AU SPOUTNIK!


Une compilation rétro de courts métrages belges à l'humour anticonformiste, véritables pieds de nez à l'intelligentsia du moment. L'esprit de Jean-Jacques Rousseau, le "cinéaste de l'absurde", n'est évidemment pas loin. Mais aussi de Noël Godin, terroriste pâtissier dont les pamphlets burlesques sont rarement montrés. Et que dire de Jean Marie Buchet, cinéaste méconnu qui se moque gentiment de ses contemporains. D'une autre génération, Olivier Smolders a pu réaliser quelques perles subversives à côté d'une œuvre plus grave. Enfin, plus récemment, Carl Roosens et Noémie Marsily, avec leurs animations poético-corrosives, rejoignent d'une autre manière l'esprit frondeur de nombreux réalisateurs en marge de l'industrie florissante du cinéma belge (dont cette séance n'est qu'un minuscule aperçu).

FILM SURPRISE

MONSTRE FESTIVAL 2016
LE NOVA AU SPOUTNIK!


Librement adapté d’un auteur sulfureux, mêlant érotisme et fantastique baroque, ce long métrage surprise n’aura connu que quelques jours d’exploitation dans un pays étranger pour ensuite être définitivement séquestré pour de sombres histoires de production. Jusqu’à ce qu'une copie providentielle atterrisse 25 ans plus tard dans l'antre du Nova qui s'empressa de la sous-titrer et de la montrer lors d'un fameux cycle sur la fiction transgressive belge...

DE L’ABC AU X

MONSTRE FESTIVAL 2016
LE NOVA AU SPOUTNIK!


En correspondance avec Allen Ginsberg et Jack Kerouac, William Burroughs raconte dans une de ses lettres comment vers la fin de leurs vies certaines anguilles abandonnent leurs ruisseaux et étangs pour aller à la mer afin de s'accoupler et puis mourir. Pendant leurs long et dangereux voyage elles ne mangent pas et leurs trous de culs se ferment... En 2013, après toute une vie dédiée à la diffusion de la culture porno-érotique, et sans jamais se nourrir des moyens numériques, le Cinéma ABC à Bruxelles ferme ses portes. Voici son histoire racontée par ses enfants.

LE CHANTIER DES GOSSES + LOST AND FOUND

MONSTRE FESTIVAL 2016
LE NOVA AU SPOUTNIK!


Au pied du Palais de Justice bruxellois, dans le vieux quartier des Marolles, un terrain vague formé par le cratère d’un V1 de la dernière guerre mondiale sert de terrain de jeux aux enfants du quartier. Jusqu’au jour où débarquent architectes et géomètres. S’ensuit une confrontation canaille qui frisera le drame, une fois le chantier entamé...

PELLICULE & NUMÉRIQUE

MONSTRE FESTIVAL 2016
LE NOVA AU SPOUTNIK!


Alliant nostalgie et découverte, "L’archéologue, l’archive et les alchimistes" traverse différents temps de la pellicule. La rivière inversée nous transporte à l'intérieur d'une nouvelle allégorie de la caverne où les ombres du réel sont de plus en plus faibles. Tatiana Bohm, plasticienne et Dominik Guth, cinéaste, ont tourné en 16mm pendant presque dix années pour aboutir à "Topologie du vide", un court-métrage transformant un terrain vague en laboratoire soumit à des performances éphémères.

PALESTINE FC’E 2016 : JEUDI 24 NOV

RENCONTRES CINÉMATOGRAPHIQUES
PALESTINE: FILMER C'EST EXISTER


Les Rencontres cinématographiques Palestine : filmer c’est exister (PFC’E) ont été créées en 2012 avec l’idée de donner la place au regard, à la créativité, à l’humour, aux convictions et aux espoirs des cinéastes palestinienNEs. Cette année, PFC’E passe de 3 à 4 jours afin de renforcer les moments d’échanges entre les cinéastes invités et le public. Pour cette 5ème édition, PFC’E est heureux de présenter 17 films et d’accueillir 7 cinéastes palestinienNEs. AVE MARIA + ZAHRA

PALESTINE FC’E 2016 : VENDREDI 25 NOV

RENCONTRES CINÉMATOGRAPHIQUES
PALESTINE: FILMER C'EST EXISTER


Les Rencontres cinématographiques Palestine : filmer c’est exister (PFC’E) ont été créées en 2012 avec l’idée de donner la place au regard, à la créativité, à l’humour, aux convictions et aux espoirs des cinéastes palestinienNEs. Cette année, PFC’E passe de 3 à 4 jours afin de renforcer les moments d’échanges entre les cinéastes invités et le public. Pour cette 5ème édition, PFC’E est heureux de présenter 17 films et d’accueillir 7 cinéastes palestinienNEs. ENQUÊTE PERSONNELLE // SPEED SISTERS

PALESTINE FC’E 2016 : SAMEDI 26 NOV

RENCONTRES CINÉMATOGRAPHIQUES
PALESTINE: FILMER C'EST EXISTER


Les Rencontres cinématographiques Palestine : filmer c’est exister (PFC’E) ont été créées en 2012 avec l’idée de donner la place au regard, à la créativité, à l’humour, aux convictions et aux espoirs des cinéastes palestinienNEs. Cette année, PFC’E passe de 3 à 4 jours afin de renforcer les moments d’échanges entre les cinéastes invités et le public. Pour cette 5ème édition, PFC’E est heureux de présenter 17 films et d’accueillir 7 cinéastes palestinienNEs. AL QUDS-THE WORKSHOP // ROUTE 60 + INVASION // CHALLENGE // ****Soirée GAZA**** // THE IDOL

PALESTINE FC’E 2016 : DIMANCHE 27 NOV

RENCONTRES CINÉMATOGRAPHIQUES
PALESTINE: FILMER C'EST EXISTER


Les Rencontres cinématographiques Palestine : filmer c’est exister (PFC’E) ont été créées en 2012 avec l’idée de donner la place au regard, à la créativité, à l’humour, aux convictions et aux espoirs des cinéastes palestinienNEs. Cette année, PFC’E passe de 3 à 4 jours afin de renforcer les moments d’échanges entre les cinéastes invités et le public. Pour cette 5ème édition, PFC’E est heureux de présenter 17 films et d’accueillir 7 cinéastes palestinienNEs. JENIN, JENIN // BRUNCH AVEC MOHAMED BAKRI // DEPUIS QUE TU N’ES PLUS LÀ // TRIP ALONG EXODUS // TABLE RONDE L’APPEL DES PALESTINIENS AU BOYCOTT : QUELLE(S) RÉPONSE(S) DONNENT LES CINÉASTES ? // LE TEMPS QU’IL RESTE