L’ÉTOILE NOIRE

DARK STAR


lun. 6 janv. 2014   20H

Réalisation
John Carpenter
Pays
États-Unis
Année
1974
Langue
ST français
VO anglais
Format
35mm
Durée
83'
Cycle

JOHN CARPENTER IS IN TOWN...

« DARK STAR est d’abord une parodie de film de science-fiction, une sorte d’ »En attendant Godot » de Samuel Beckett, transposé dans l’espace. Mais plus qu’une parodie, c’est avant tout une comédie absurde. »
John Carpenter

Le vaisseau spatial Dark Star a pour mission de détruire les planètes instables qui pourraient nuire à l’humanité. Dérivant depuis 20 ans dans l’espace, l’équipage a lentement basculé dans l’ennui. Un événement va les sortir de leur catatonie…

Premier long métrage de John Carpenter, résultant du rallongement d’un court métrage réalisé durant sa dernière année d’étude en cinéma à USC, DARK STAR n’a pas trouvé son public à sa sortie mais est par la suite devenu culte auprès de la génération VHS. Fait important : Dan O’Bannon déclinera le scénario qu’il a co-signé avec Carpenter pour l’histoire d’ALIEN (1978).

dark star

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JOHN CARPENTER IS IN TOWN…
Du samedi 4 au mardi 14 janvier 2014

Rigoureux, exigeant, intègre, Carpenter débarque avec fracas dans le paysage cinématographique avec la bombe ASSAULT ON PRECINCT 13 (1974), avant de continuer à marquer le cinéma par un rare enchaînement de films cultes, denses et maîtrisés.

A ne pas manquer, en ouverture du cycle, deux rencontres avec des spécialistes de Carpenter. Samedi 4, Laurent Guido présentera les Bandes originales composées par le réalisateur et dimanche 5, le critique Jean-Baptiste Thoret interviendra à la suite de la projection d’ASSAULT ON PRECINCT 13.

HALLOWEEN, THE FOG, THE THING, ESCAPE FROM NEW YORK, THEY LIVE ! IN THE MOUTH OF MADNESS : autant de titres évoquant un univers sombre, à la limite du rationnel, mettant constamment les protagonistes à l’épreuve de la peur, de l’insécurité et du Mal, insaisissable mais imminent.

Mise en scène ciselée, cadrages virtuoses, bandes originales efficaces et minimalistes qu’il signe lui-même (à quelques exceptions près), les films de Carpenter sont autant de diamants noirs diffractant la réalité pour révéler les malaises enfouis de la société.

Longtemps ignoré par la critique institutionnelle, Carpenter a accédé depuis à une reconnaissance tardive, mais méritée. Nous vous proposons de plonger dans son univers à travers 11 films, dont la plupart seront projetés dans leur format original 35mm.

john carpenter is in town thomas perrodin spoutnik





John Carpenter is in town

Du samedi 4 au mardi 14 janvier 2014

Rigoureux, exigeant, intègre, Carpenter débarque avec fracas dans le paysage cinématographique avec la bombe ASSAULT ON PRECINCT 13 (1974), avant de continuer à marquer le cinéma par un rare enchaînement de films cultes, denses et maîtrisés.

A ne pas manquer, en ouverture du cycle, deux rencontres avec des spécialistes de Carpenter. Samedi 4, Laurent Guido présentera les Bandes originales composées par le réalisateur et dimanche 5, le critique Jean-Baptiste Thoret interviendra à la suite de la projection d’ASSAULT ON PRECINCT 13.

HALLOWEEN, THE FOG, THE THING, ESCAPE FROM NEW YORK, THEY LIVE ! IN THE MOUTH OF MADNESS : autant de titres évoquant un univers sombre, à la limite du rationnel, mettant constamment les protagonistes à l’épreuve de la peur, de l’insécurité et du Mal, insaisissable mais imminent.

Mise en scène ciselée, cadrages virtuoses, bandes originales efficaces et minimalistes qu’il signe lui-même (à quelques exceptions près), les films de Carpenter sont autant de diamants noirs diffractant la réalité pour révéler les malaises enfouis de la société.

Longtemps ignoré par la critique institutionnelle, Carpenter a accédé depuis à une reconnaissance tardive, mais méritée. Nous vous proposons de plonger dans son univers à travers 11 films, dont la plupart seront projetés dans leur format original 35mm.