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WORKSHOP AVEC KRISTINA MARLEN


ven. 13 avril 2018   14h
Cycle

APRÈS LE PORNO, SHU LEA CHEANG
ANNULÉ

ANNULÉ

Pour des raisons de santé, le workshop avec Kristina Marlen ne pourra pas avoir lieu. Mais ce sera à charge de revanche!

KRISTINA MARLEN
ACTRICE DE FLUIDØ, PERFORMEUSE, DOMINATRICE PROFESSIONNELLE

Après-midi en intimité avec Kristina Marlen qui propose une session workshop de bondage et soumission. Quelques mouvement et scénarios seront répétés avec à l’issue: la proposition de participer à une performance improvisée et dirigée par Shu Lea Cheang, le soir même durant la “LET’S MAKE A SEQUEL – FLUIDØ2 CASTING PARTY !” au cinéma Spoutnik.

http://marlen.me/

Inscription obligatoire, mixité choisie (casting@spoutnik.info)

kristina marlen workshop

kristina marlen workshop

APRÈS LE PORNO, SHU LEA CHEANG

Artiste, réalisatrice, vidéaste, performeuse, profondément cyber-punk, avec une pratique dans le bio-hacking, Shu Lea Cheang est une activiste queer forcenée qui mêle science-fiction et imaginaire déglingué dans toutes ses œuvres. Ses installations mettent souvent le public dans des situations participatives avec des interactions sociales transgressives et fait un usage massif des technologies du média. A ce propos, son premier long métrage “Fresh Kill”, réalisé en 1994, pointe une cyber-paranoïa grandissante avec une vision post-apocalyptique emplie de déchets électroniques et de répercussions toxiques du marketing de masse et de la culture high-tech. Son second long métrage I.K.U. réalisé en 2000 est une sorte de “Blade Runner” post porno où une multinationale déploie des cyborgs sexuels pour ramasser des données orgasmiques. Depuis installée en Europe, Shu Lea Cheang, multiplie les collaborations transdisciplinaires dans une direction résolument cyber-biologique. Elle réalise son dernier long métrage “Fluidø” en 2017 avec une attention particulière à l’intégration et représentation de toutes les sexualités et diversités, décrivant un monde futuriste où l’humanité entière est en proie à une passion virale pour tous les fluides corporels.

Le Spoutnik propose une rétrospective sur le travail cinématographique de l’artiste américano-taïwanaise Shu Lea Cheang, qui sera présente pour accompagner les projections de ses trois longs métrages et de deux séances de courts. La première suisse de “Fluidø” sera l’occasion d’une fête casting participative en vue du tournage de “Fluidø2” qui risque bien de rester dans les annales d’une mémoire collective queer genevoise.

après le porno, Shu Lea Cheang





Après le porno, Shu Lea Cheang

Artiste, réalisatrice, vidéaste, performeuse, profondément cyber-punk, avec une pratique dans le bio-hacking, Shu Lea Cheang est une activiste queer forcenée qui mêle science-fiction et imaginaire déglingué dans toutes ses œuvres. Ses installations mettent souvent le public dans des situations participatives avec des interactions sociales transgressives et fait un usage massif des technologies du média. A ce propos, son premier long métrage “Fresh Kill”, réalisé en 1994, pointe une cyber-paranoïa grandissante avec une vision post-apocalyptique emplie de déchets électroniques et de répercussions toxiques du marketing de masse et de la culture high-tech. Son second long métrage I.K.U. réalisé en 2000 est une sorte de “Blade Runner” post porno où une multinationale déploie des cyborgs sexuels pour ramasser des données orgasmiques. Depuis installée en Europe, Shu Lea Cheang, multiplie les collaborations transdisciplinaires dans une direction résolument cyber-biologique. Elle réalise son dernier long métrage “Fluidø” en 2017 avec une attention particulière à l’intégration et représentation de toutes les sexualités et diversités, décrivant un monde futuriste où l’humanité entière est en proie à une passion virale pour tous les fluides corporels.

Le Spoutnik propose une rétrospective sur le travail cinématographique de l’artiste américano-taïwanaise Shu Lea Cheang, qui sera présente pour accompagner les projections de ses trois longs métrages et de deux séances de courts. La première suisse de “Fluidø” sera l’occasion d’une fête casting participative en vue du tournage de “Fluidø2” qui risque bien de rester dans les annales d’une mémoire collective queer genevoise.