Touki Bouki

dim. 27 oct. 2019 19H
Réalisation |
Mambéty Djibril Diop
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Pays |
Sénégal
|
Année |
1973
|
Langue |
ST français
|
Format |
Copie DCP restaurée
|
Durée |
89' |
Cycle |
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou... |
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou...
dim. 27 oct. 2019, présentation et rencontre par Michel Amarger
A Dakar où il est venu vendre son troupeau, un berger, Mory, rencontre une étudiante, Anta. Tous les deux rêvent de se rendre à Paris et tous les moyens leur sont bons pour se procurer l’argent du voyage. Après de nombreuses péripéties, ils se retrouvent sur le pont d’un bateau en partance…
Entre le quotidien des quartiers défavorisés de Dakar et la représentation d’un Paris plus symbolique que réel, entre tradition et modernité, entre rêve et réalité, Touki Bouki est un grand classique du cinéma africain, le troisième film du cinéaste sénégalais Djibril Diop Mambéty (1945-1998). Il a été sélectionné à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes en 1973.
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou…
En collaboration avec le journaliste critique de cinéma Michel Amarger, cofondateur du réseau informatique Africiné, de la Fédération Africaine des Critiques de Cinéma et de la structure Afrimages, le Spoutnik propose un programme de films venant d’Afrique de l’Ouest qui éclairent certaines confrontations et relations socio-culturelles entre plusieurs pays, villes et villages. À travers un parcours de films réalisés entre les années 70 et aujourd’hui, on y découvre des rapports de classes et de pouvoir hérités de l’époque coloniale ainsi que les rêves et les désillusions des protagonistes.
Au programme: deux films sénégalais des années 70 en version restaurée: La noire de… de Sembène Ousmane et Touki Bouki de Djibril Diop Mambéty ; Milles soleils de Mati Diop, enquête sur l’héritage personnel et universel que représente Touki Bouki ; Bal poussière de Henri Duparc, qui, entre ville et campagne, marque la naissance de la comédie ivoirienne. Le samedi 26 octobre, séance spéciale de Le Loup d’or de Balolé, Grand prix documentaire au 26e FESPACO, en présence de la réalisatrice Chloé Aïcha Boro.
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou...
En collaboration avec le journaliste critique de cinéma Michel Amarger, cofondateur du réseau informatique Africiné, de la Fédération Africaine des Critiques de Cinéma et de la structure Afrimages, le Spoutnik propose un programme de films venant d’Afrique de l’Ouest qui éclairent certaines confrontations et relations socio-culturelles entre plusieurs pays, villes et villages. À travers un parcours de films réalisés entre les années 70 et aujourd’hui, on y découvre des rapports de classes et de pouvoir hérités de l’époque coloniale ainsi que les rêves et les désillusions des protagonistes. Au programme: deux films sénégalais des années 70 en version restaurée: La noire de… de Sembène Ousmane et Touki Bouki de Djibril Diop Mambéty ; Milles soleils de Mati Diop, enquête sur l’héritage personnel et universel que représente Touki Bouki ; Bal poussière de Henri Duparc, qui, entre ville et campagne, marque la naissance de la comédie ivoirienne. Le samedi 26 octobre, séance spéciale de Le Loup d’or de Balolé, Grand prix documentaire au 26e FESPACO, en présence de la réalisatrice Chloé Aïcha Boro.