Montages d’archives – programme de courts métrages 1

mer. 13 mars 2019 19H
Réalisation |
Jean-Gabriel Périot
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Pays |
France
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Langue |
VO français
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Format |
DCP
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Durée |
58’ |
Collaboration |
Festival du film et forum international sur les droits humains
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Cycle |
Jean-Gabriel Périot: Le pouvoir politiques des images et du cinéma
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Jean-Gabriel Périot: le pouvoir politique des images et du cinéma
mer. 13 mars 2019, en présence de Jean-Gabriel Périot et Olivier Zuchuat, responsable du département cinéma de la HEAD – Genève
Les images se juxtaposent, se superposent, se combinent et rembobinent dans ce programme de films courts réalisés de montages d’archives. Éminemment politiques, ces oeuvres sont issues de longues recherches historiques et établissent avec ingéniosité des liens entre les temporalités. Récits de violence, pouvoir, révolte et désobéissance sublimés par la force et les possibilités de l’art du montage.
Les Barbares (2010, 5′)
L’art délicat de la matraque (2009, 4′)
We are winning don’t forget (2004, 6′)
We are become death (2014, 4′)
Undo (2005, 10’)
Eût-elle été criminelle… (2006, 9′)
21.04.02 (2002, 10’)
Dies Irae (2005, 10’)
Jean-Gabriel Périot: le pouvoir politique des images et du cinéma
Jean-Gabriel Périot est l’auteur d’une oeuvre cinématographique au discours résolument politique. Il travaille la question de la mémoire et de la violence et ses rouages à travers des films souvent constitués d’images préexistantes, de photos et films de sources diverses qu’il manipule au montage. Il confronte les spectateurs·rices à la violence de certains épisodes de l’histoire du XXe et XXIème siècle. Il montre des camps de concentration, la jungle de Calais, Hiroshima et les explosions nucléaires, les tondues de la Libération, l’univers carcéral – pour, dit-il: “regarder l’humanité dans ce qu’elle a de plus faillible et de faire de cette souffrance un refus, mais aussi d’en tirer la force d’espérer et d’aimer une humanité si fragile”.
Né en 1974, Jean-Gabriel Périot a commencé sa carrière comme monteur pour des chaînes de télévision françaises avant de réaliser ses films à partir des années 2000. Il a réalisé deux longs métrages: “Une jeunesse allemande” (2015), au sujet de la Fraction armée rouge, et “Lumières d’été” (2016), autour des survivant·e·s japonais·e·s de la bombe atomique. Au coeur de ce cycle rétrospectif dédié au cinéaste, deux programmes de courts métrages détonants révèlent une partie de son oeuvre constituée d’une trentaine de films courts et vidéos.
En collaboration avec le département cinéma de la HEAD – Genève et le FIFDH
Jean-Gabriel Périot: Le pouvoir politiques des images et du cinéma
Jean-Gabriel Périot est l’auteur d’une oeuvre cinématographique au discours résolument politique. Il travaille la question de la mémoire et de la violence et ses rouages à travers des films souvent constitués d’images préexistantes, de photos et films de sources diverses qu’il manipule au montage. Il confronte les spectateurs·rices à la violence de certains épisodes de l’histoire du XXe et XXIème siècle. Il montre des camps de concentration, la jungle de Calais, Hiroshima et les explosions nucléaires, les tondues de la Libération, l’univers carcéral – pour, dit-il: “regarder l’humanité dans ce qu’elle a de plus faillible et de faire de cette souffrance un refus, mais aussi d’en tirer la force d’espérer et d’aimer une humanité si fragile”.
Né en 1974, Jean-Gabriel Périot a commencé sa carrière comme monteur pour des chaînes de télévision françaises avant de réaliser ses films à partir des années 2000. Il a réalisé deux longs métrages: “Une jeunesse allemande” (2015), au sujet de la Fraction armée rouge, et “Lumières d’été” (2016), autour des survivant·e·s japonais·e·s de la bombe atomique. Au coeur de ce cycle rétrospectif dédié au cinéaste, deux programmes de courts métrages détonants révèlent une partie de son oeuvre constituée d’une trentaine de films courts et vidéos.
En collaboration avec le département cinéma de la HEAD – Genève et le FIFDH