L’île aux oiseaux


mer. 14 oct. 2020   20h30
sam. 17 oct. 2020   20h30
dim. 18 oct. 2020   17h00
lun. 19 oct. 2020   20h30
mar. 20 oct. 2020   20h30
mer. 21 oct. 2020   20h30
jeu. 22 oct. 2020   20h30
lun. 26 oct. 2020   20h30
mar. 27 oct. 2020   20h30
mer. 28 oct. 2020   20h30
sam. 31 oct. 2020   20h30

Réalisation
Sergio Da Costa
Maya Kosa
Pays
Suisse
Année
2019
Langue
VO français
Durée
61'
Cycle

Sortie

mer. 14 oct. 2020, Discussion avec les cinéastes et des activistes Grève du climat

dim. 18 oct. 2020, Séance annulée pour cause inondation


Parmi les projections, deux de celles-ci seront enrichies de discussions/débats. Le 14, à l’occasion du premier soir, des activistes de la Grève du climat entreront en dialogue avec les cinéastes. Le 20, c’est Manouk Borzakian, chercheur dont les travaux croisent la géographie et le cinéma qui nous rendra visite avec les cinéastes.

Au dedans, un centre de soin pour oiseaux. Au dehors, le monde sauvage qui laisse imaginer sa violence. Antonin, apprenti, fatigue persistante, âme en peine. Des oiseaux à la dérive, si proches de la mort. Paul, travailleur consciencieux, éprouvant la difficulté du départ. Ce petit monde, dont les blessures se font vivaces, cohabite au dedans, là où existe la possibilité du refuge. Le cinéma s’y introduit ici en recueillant d’infinis petits gestes, qu’ils soient précis, mécaniques, ou qu’ils soient comme ceux d’Antonin, empruntés voir impuissants. Ces corps, en action ou au repos, semblent tous habités d’une tranquillité continue. Tranquillité comme résonance de la fragilité des êtres et comme moyen de se donner du temps. Dès lors, ce sont d’infimes progressions qui se jouent. De la guérison des oiseaux à l’apprentissage d’Antonin, aux relations qui en découlent, nulle finalité ne paraît.