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PORTRAIT OF JASON


sam. 12 déc. 2015   20H30
mer. 16 déc. 2015   20H30

Réalisation
Shirley Clarke
Pays
États-Unis
Année
1967
Langue
ST français
VO anglais
Format
DCP
Durée
105'
Cycle

DIPTYQUE SHIRLEY CLARKE

DANS LE CADRE DU PROGRAMME « DIPTYQUE SHIRLEY CLARKE »

Shirley Clarke et son équipe interview Jason Holliday, un tra-vailleur du sexe noir et homosexuel. Assis dans son apparte-ment, un verre à la main et une cigarette dans l’autre, celui-ci se livre à la caméra et revient sur de nombreux moments de sa vie, parfois drôles, parfois plus douloureux.

Une originale et intelligente réflexion sur l’identité, le passé et le racisme.

DIPTYQUE SHIRLEY CLARKE

« Je voulais découvrir comment la réalité et l’abstraction peuvent s’accorder, se combiner dans un film. » Shirley Clarke

Shirley Clarke est une figure centrale du cinéma indépendant américain des années 60. D’abord danseuse et chorégraphe, elle réalise ensuite des courts-métrages expérimentaux sur la danse.
Dans les années 60, Clarke réalise plusieurs longs-métrages, travaillant de plus en plus sur la limite entre documentaire et fiction et sur l’impossible séparation radicale de ces deux re-gistres, thème qui deviendra de plus en plus saillant dans son oeuvre jusqu’à la fin de la décennie. En parallèle, elle souhaite représenter la réalité sociale des Etats-Unis de son époque, notamment l’importante fracture entre les blanc·he·s et les noir·e·s-américain·e·s.

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Diptyque Shirley Clarke

« Je voulais découvrir comment la réalité et l’abstraction peuvent s’accorder, se combiner dans un film. »
Shirley Clarke

Shirley Clarke est une figure centrale du cinéma indépendant américain des années 60. D’abord danseuse et chorégraphe, elle réalise ensuite des courts-métrages expérimentaux sur la danse.
Dans les années 60, Clarke réalise plusieurs longs-métrages, travaillant de plus en plus sur la limite entre documentaire et fiction et sur l’impossible séparation radicale de ces deux re-gistres, thème qui deviendra de plus en plus saillant dans son oeuvre jusqu’à la fin de la décennie. En parallèle, elle souhaite représenter la réalité sociale des Etats-Unis de son époque, notamment l’importante fracture entre les blanc·he·s et les noir·e·s-américain·e·s.