Mille Soleils

dim. 27 oct. 2019 21H
Réalisation |
Mati Diop
|
Pays |
France
|
Année |
2013
|
Langue |
ST français
|
Format |
DCP
|
Durée |
45' |
Cycle |
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou... |
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou...
dim. 27 oct. 2019, présentation par Michel Amarger
En 1972, Djibril Diop Mambety tourne Touki Bouki. Mory et Anta s’aiment. Les deux jeunes amants partagent le même rêve, quitter Dakar pour Paris. Au moment fatidique, Anta embarque. Mory, lui, reste seul sur les quais, incapable de s’arracher à sa terre.
Quarante ans plus tard, Mille Soleils enquête sur l’héritage personnel et universel que représente Touki Bouki. Que s’est-il passé depuis? Magaye Niang, le héros du film, n’a jamais quitté Dakar. Et aujourd’hui, le vieux cowboy se demande où est passée Anta, son amour de jeunesse.
Mati Diop est la nièce de Djibril Diop Mambéty. Formée au Fresnoy, elle a réalisé plusieurs films primés dans des festivals internationaux. Son dernier film, Atlantique a été présenté en compétition officielle au Festival de Cannes en 2019, où il a remporté le Grand prix.
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou…
En collaboration avec le journaliste critique de cinéma Michel Amarger, cofondateur du réseau informatique Africiné, de la Fédération Africaine des Critiques de Cinéma et de la structure Afrimages, le Spoutnik propose un programme de films venant d’Afrique de l’Ouest qui éclairent certaines confrontations et relations socio-culturelles entre plusieurs pays, villes et villages. À travers un parcours de films réalisés entre les années 70 et aujourd’hui, on y découvre des rapports de classes et de pouvoir hérités de l’époque coloniale ainsi que les rêves et les désillusions des protagonistes.
Au programme: deux films sénégalais des années 70 en version restaurée: La noire de… de Sembène Ousmane et Touki Bouki de Djibril Diop Mambéty ; Milles soleils de Mati Diop, enquête sur l’héritage personnel et universel que représente Touki Bouki ; Bal poussière de Henri Duparc, qui, entre ville et campagne, marque la naissance de la comédie ivoirienne. Le samedi 26 octobre, séance spéciale de Le Loup d’or de Balolé, Grand prix documentaire au 26e FESPACO, en présence de la réalisatrice Chloé Aïcha Boro.
Dakar, Paris, Nice, Ouagadougou...
En collaboration avec le journaliste critique de cinéma Michel Amarger, cofondateur du réseau informatique Africiné, de la Fédération Africaine des Critiques de Cinéma et de la structure Afrimages, le Spoutnik propose un programme de films venant d’Afrique de l’Ouest qui éclairent certaines confrontations et relations socio-culturelles entre plusieurs pays, villes et villages. À travers un parcours de films réalisés entre les années 70 et aujourd’hui, on y découvre des rapports de classes et de pouvoir hérités de l’époque coloniale ainsi que les rêves et les désillusions des protagonistes. Au programme: deux films sénégalais des années 70 en version restaurée: La noire de… de Sembène Ousmane et Touki Bouki de Djibril Diop Mambéty ; Milles soleils de Mati Diop, enquête sur l’héritage personnel et universel que représente Touki Bouki ; Bal poussière de Henri Duparc, qui, entre ville et campagne, marque la naissance de la comédie ivoirienne. Le samedi 26 octobre, séance spéciale de Le Loup d’or de Balolé, Grand prix documentaire au 26e FESPACO, en présence de la réalisatrice Chloé Aïcha Boro.