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SÉANCE DE CLÔTURE D’ARGENTO : IMAGINAIRE DE L’ANGOISSE


sam. 31 oct. 2015   20H30
Cycle

CYCLE ARGENTO : IMAGINAIRE DE L’ANGOISSE

DANS LE CADRE DU CYCLE « ARGENTO : IMAGINAIRE DE L’ANGOISSE »

Kitsch et angoissant, classique et dérangeant, un film annoncé quelques jours à l’avance, accompagné d’un apéro.

ARGENTO : IMAGINAIRE DE L’ANGOISSE

Erotisme macabre, atmosphères perverses et fétichistes, ce mois d’octobre, le Spoutnik vous propose d’entrer dans l’univers du maître italien Dario Argento, en redécouvrant trois de ses plus grands classiques aux univers délirants et angoissants.

Entre les années 60 et 80, Argento a donné au style giallo une reconnaissance internationale et a élevé celui-ci du cinéma d’horreur au cinéma d’auteur. Le travail sur les ambiances avec l’usage souvent excessif de couleurs criardes, qui rappellent les productions des studios Hammer auxquels la naissance du giallo est le pendant italien, créent des atmosphères qui tirent vers le fantastique, parfois même vers le psychédélisme. Mêlant intrigues policières, références au cinéma d’horreur gothique des années 60 et à des films tels que Psychose d’Alfred Hitchcock ou Peeping Tom de Michael Powell, ces films dépassent l’étiquette qui leur est souvent associée, celle d’un cinéma de genre, et se construisent, pour certains, sur des récits touchant à des problématiques sociétales, à l’inconscient, voire à la métaphysique. Rejouant avec un plaisir pervers l’éternelle spirale infernale à l’intérieur de laquelle le ou la protagoniste principal·e se retrouve enfermé·e après avoir été témoin d’un meurtre et doit mener l’enquête à sa façon, ces films jouent sur la subjectivité du public, lui faisant plusieurs fois se perdre dans ses réflexions quant à l’identité du meurtrier.





Cycle Argento: imaginaire de l'angoisse

Erotisme macabre, atmosphères perverses et fétichistes, ce mois d’octobre, le Spoutnik vous propose d’entrer dans l’univers du maître italien Dario Argento, en redécouvrant trois de ses plus grands classiques aux univers délirants et angoissants.

Entre les années 60 et 80, Argento a donné au style giallo une reconnaissance internationale et a élevé celui-ci du cinéma d’horreur au cinéma d’auteur. Le travail sur les ambiances avec l’usage souvent excessif de couleurs criardes, qui rappellent les productions des studios Hammer auxquels la naissance du giallo est le pendant italien, créent des atmosphères qui tirent vers le fantastique, parfois même vers le psychédélisme. Mêlant intrigues policières, références au cinéma d’horreur gothique des années 60 et à des films tels que Psychose d’Alfred Hitchcock ou Peeping Tom de Michael Powell, ces films dépassent l’étiquette qui leur est souvent associée, celle d’un cinéma de genre, et se construisent, pour certains, sur des récits touchant à des problématiques sociétales, à l’inconscient, voire à la métaphysique. Rejouant avec un plaisir pervers l’éternelle spirale infernale à l’intérieur de laquelle le ou la protagoniste principal·e se retrouve enfermé·e après avoir été témoin d’un meurtre et doit mener l’enquête à sa façon, ces films jouent sur la subjectivité du public, lui faisant plusieurs fois se perdre dans ses réflexions quant à l’identité du meurtrier.