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BRUNCH CENTRES ALTERNATIFS AUTOGÉRÉS


dim. 18 déc. 2016   14h
Collaboration
Cycle


BERN - ZÜRICH, MÊME ESPRIT, MÊME COMBAT
BRUNCH VEGAN MARATHON

DANS LE CADRE DU FOCUS BERN – ZÜRICH, MÊME ESPRIT, MÊME COMBAT

BRUNCH VEGAN PRIX LIBRE, PROJECTIONS PRIX LIBRE

Pour terminer l’année, nous vous invitons à passer un long après-midi sur les canapés du Spoutnik avec une assiette et un vin chaud. Nous verrons et reverrons à la suite les trois documentaires du mois sur les trois grands centres culturels autogérés suisses, à commencer par un portrait de la Reitschule, suivi par un document d’archive sur les années précédant l’ouverture de la Rote Fabrik, pour finir avec Vox Usini.

BERN – ZÜRICH, MÊME ESPRIT, MÊME COMBAT

Le souvenir encore frais de la lutte contre les autorités du canton de Genève; force est de constater les difficultés à maintenir les activités d’un centre culturel autogéré dans un paysage politique hostile à toute activité hors des cases. Si L’Usine incarne en partie un fleuron de la culture alternative en suisse romande, ses cousines la Reitschule et la Rote Fabrik, portent un flambeau à l’esprit très proche en suisse alémanique. Avec leurs particularités, elles fonctionnent suivant des mécanismes similaires et luttent contre les mêmes formes d’organisation sociale néolibérales, atomisantes et morbides.

A l’occasion de la sortie du documentaire Vox Usini, nous proposons de mettre en perspective l’histoire et le fonctionnement de L’Usine avec les deux plus grands centres culturels autogérés du pays. Welcome to Hell est un documentaire récent qui propose un portrait sur les différents lieux de la Reitschule de Berne avec un état du paysage politique bernois contre lequel le centre doit lutter. Züri Brännt est un document d’archive sur les manifestations de 1980 contre les politiques bourgeoises de Zürich qui conduirent à la création du centre la Rote Fabrik.

Même esprit, même combat, on repense à la prise de la place des Volontaires par le collectif État d’urgence, à l’obtention de L’Usine suites aux pressions exercée par les manifestations, à la mise en place d’un fonctionnement horizontal au seins de ses collectifs, et surtout à la proposition d’activités culturelles à prix accessibles. Aujourd’hui, alors que la lutte est menée par les nouvelles générations, que ce soit à Genève, à Berne ou à Zürich, il est primordial de garder le souvenir de ce qui a été obtenu et pourquoi nous continuons à nous battre.

spoutnik





Bern - Zürich, même esprit, même combat

Le souvenir encore frais de la lutte contre les autorités du canton de Genève; force est de constater les difficultés à maintenir les activités d’un centre culturel autogéré dans un paysage politique hostile à toute activité hors des cases. Si L’Usine incarne en partie un fleuron de la culture alternative en suisse romande, ses cousines la Reitschule et la Rote Fabrik, portent un flambeau à l’esprit très proche en suisse alémanique. Avec leurs particularités, elles fonctionnent suivant des mécanismes similaires et luttent contre les mêmes formes d’organisation sociale néolibérales, atomisantes et morbides.

A l’occasion de la sortie du documentaire Vox Usini, nous proposons de mettre en perspective l’histoire et le fonctionnement de L’Usine avec les deux plus grands centres culturels autogérés du pays. Welcome to Hell est un documentaire récent qui propose un portrait sur les différents lieux de la Reitschule de Berne avec un état du paysage politique bernois contre lequel le centre doit lutter. Züri Brännt est un document d’archive sur les manifestations de 1980 contre les politiques bourgeoises de Zürich qui conduirent à la création du centre la Rote Fabrik.

Même esprit, même combat, on repense à la prise de la place des Volontaires par le collectif État d’urgence, à l’obtention de L’Usine suites aux pressions exercée par les manifestations, à la mise en place d’un fonctionnement horizontal au seins de ses collectifs, et surtout à la proposition d’activités culturelles à prix accessibles. Aujourd’hui, alors que la lutte est menée par les nouvelles générations, que ce soit à Genève, à Berne ou à Zürich, il est primordial de garder le souvenir de ce qui a été obtenu et pourquoi nous continuons à nous battre.