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VELVET GOLDMINE


sam. 12 sept. 2015   20h30
lun. 21 sept. 2015   20h30

Réalisation
Todd Haynes
Pays
États-Unis
Royaume Uni
Année
1998
Langue
ST français
VO anglais
Format
35mm
Durée
124'
Avec
Toni Collette
Ewan McGregor
Jonathan Rhys-Meyers
Christian Bale
Eddie Izzard
Cycle

CYCLE TODD HAYNES’ GOLDMINE

DANS LE CADRE DU CYCLE « TODD HAYNES’ GOLDMINE »

Arthur Stuard, un journaliste anglais, est chargé d’écrire un article sur Brian Slade, une icône du Glam Rock de son adolescence. Celui-ci a disparu après avoir mis en scène son propre assassinat en plein concert.

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Un petit talisman appartenu à Oscar Wilde circule entre les personnages du film inspirés de David Bowie (période Ziggy Stardust), Iggy Pop, Lou Reed ou Kurt Cobain.
Todd Haynes développe une généalogie imaginaire et baroque qui situe les personnages du film comme des héritiers du dandysme, de la décadence et de l’excentricité.

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TODD HAYNES’ GOLDMINE

Pour sa réouverture, le Cinéma Spoutnik est heureux de présenter une rétrospective sélective des films de Todd Haynes.

Cinéaste américain indépendant et pionnier du New Queer Cinema dans les années 90, Haynes se démarque indirectement des mouvements politiques et cinématographiques de son époque en interrogeant l’identité et l’intimité dans leur dimension politique. Usant souvent de thèmes provocateurs (Poison était classé X à sa sortie en salle), les films de Haynes, comme les corps de leurs protagonistes principaux, sont traversés par le désir et la révolte. La maladie, le désir sexuel, le fantasme deviennent les moteurs de la subversion. Bien que Haynes ne se réclame pas directement d’un engagement politique, l’imaginaire qui habite ses films vient violemment ébranler les représentations culturelles dominantes de nos sociétés. Cinéma de la différence et de la transgression, mais également entrecroisement de styles narratifs et cinématographiques maîtrisés avec brio, l’oeuvre de Todd Haynes reste l’une des plus importantes du cinéma indépendant des Etats-Unis.

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Cycle Todd Haynes' Goldmine

Pour sa réouverture, le Cinéma Spoutnik est heureux de présenter une rétrospective sélective des films de Todd Haynes.

Cinéaste américain indépendant et pionnier du New Queer Cinema dans les années 90, Haynes se démarque indirectement des mouvements politiques et cinématographiques de son époque en interrogeant l’identité et l’intimité dans leur dimension politique. Usant souvent de thèmes provocateurs (Poison était classé X à sa sortie en salle), les films de Haynes, comme les corps de leurs protagonistes principaux, sont traversés par le désir et la révolte. La maladie, le désir sexuel, le fantasme deviennent les moteurs de la subversion. Bien que Haynes ne se réclame pas directement d’un engagement politique, l’imaginaire qui habite ses films vient violemment ébranler les représentations culturelles dominantes de nos sociétés. Cinéma de la différence et de la transgression, mais également entrecroisement de styles narratifs et cinématographiques maîtrisés avec brio, l’oeuvre de Todd Haynes reste l’une des plus importantes du cinéma indépendant des Etats-Unis.