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THE CONNECTION


dim. 6 déc. 2015   20H30
lun. 14 déc. 2015   20H30

Réalisation
Shirley Clarke
Pays
États-Unis
Année
1961
Langue
ST français
VO anglais
Format
DCP
Durée
103'
Cycle

DIPTYQUE SHIRLEY CLARKE

DANS LE CADRE DU PROGRAMME « DIPTYQUE SHIRLEY CLARKE »

Dans un appartement de Greenwich Village, un (faux) documentariste et son cameraman tournent un film sur huit amis qui attendent leur dealer.

Adapté d’une pièce de théâtre, ce faux documentaire (Clarke joue avec les faux raccords et les perches dans le plan) prend pour cadre un huis clos où se mêlent des discussions existentielles sur les drogues et la musique rythmées par le jazz de Jackie MacLean et du Freddie Redd Quartet. The Connection est un chef-d’oeuvre du cinéma d’avant-garde des années 60.

DIPTYQUE SHIRLEY CLARKE

« Je voulais découvrir comment la réalité et l’abstraction peuvent s’accorder, se combiner dans un film. » Shirley Clarke

Shirley Clarke est une figure centrale du cinéma indépendant américain des années 60. D’abord danseuse et chorégraphe, elle réalise ensuite des courts-métrages expérimentaux sur la danse.
Dans les années 60, Clarke réalise plusieurs longs-métrages, travaillant de plus en plus sur la limite entre documentaire et fiction et sur l’impossible séparation radicale de ces deux re-gistres, thème qui deviendra de plus en plus saillant dans son oeuvre jusqu’à la fin de la décennie. En parallèle, elle souhaite représenter la réalité sociale des Etats-Unis de son époque, notamment l’importante fracture entre les blanc·he·s et les noir·e·s-américain·e·s.

shirley_clarke_spoutnik





Diptyque Shirley Clarke

« Je voulais découvrir comment la réalité et l’abstraction peuvent s’accorder, se combiner dans un film. »
Shirley Clarke

Shirley Clarke est une figure centrale du cinéma indépendant américain des années 60. D’abord danseuse et chorégraphe, elle réalise ensuite des courts-métrages expérimentaux sur la danse.
Dans les années 60, Clarke réalise plusieurs longs-métrages, travaillant de plus en plus sur la limite entre documentaire et fiction et sur l’impossible séparation radicale de ces deux re-gistres, thème qui deviendra de plus en plus saillant dans son oeuvre jusqu’à la fin de la décennie. En parallèle, elle souhaite représenter la réalité sociale des Etats-Unis de son époque, notamment l’importante fracture entre les blanc·he·s et les noir·e·s-américain·e·s.