Lumières d’été
ven. 15 mars 2019 20H30
Réalisation |
Jean-Gabriel Périot
|
Pays |
France
|
Année |
2017
|
Langue |
ST français
|
Durée |
82' |
Collaboration |
Festival du film et forum international sur les droits humains
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Cycle |
Jean-Gabriel Périot: Le pouvoir politiques des images et du cinéma |
Jean-Gabriel Périot: le pouvoir politique des images et du cinéma
Akihiro, cinéaste japonais vivant à Paris, réalise des interviews à Hiroshima avec des hibakusha, survivant·e·s de la bombe atomique. Pendant son séjour au Japon il fait la rencontre d’une étrange jeune femme, Michiko. Leurs balades dans la région d’Hiroshima réactivent la mémoire de Michiko, qui, avec son accent et yukata démodés semble venue d’un autre temps.
Lumières d’été est précédé du court métrage 20 000 fantômes, mosaïque de centaines de photos du dôme Genbaku, le seul bâtiment de Hiroshima resté debout après l’explosion de la bombe A.
Jean-Gabriel Périot: le pouvoir politique des images et du cinéma
Jean-Gabriel Périot est l’auteur d’une oeuvre cinématographique au discours résolument politique. Il travaille la question de la mémoire et de la violence et ses rouages à travers des films souvent constitués d’images préexistantes, de photos et films de sources diverses qu’il manipule au montage. Il confronte les spectateurs·rices à la violence de certains épisodes de l’histoire du XXe et XXIème siècle. Il montre des camps de concentration, la jungle de Calais, Hiroshima et les explosions nucléaires, les tondues de la Libération, l’univers carcéral – pour, dit-il: “regarder l’humanité dans ce qu’elle a de plus faillible et de faire de cette souffrance un refus, mais aussi d’en tirer la force d’espérer et d’aimer une humanité si fragile”.
Né en 1974, Jean-Gabriel Périot a commencé sa carrière comme monteur pour des chaînes de télévision françaises avant de réaliser ses films à partir des années 2000. Il a réalisé deux longs métrages: “Une jeunesse allemande” (2015), au sujet de la Fraction armée rouge, et “Lumières d’été” (2016), autour des survivant·e·s japonais·e·s de la bombe atomique. Au coeur de ce cycle rétrospectif dédié au cinéaste, deux programmes de courts métrages détonants révèlent une partie de son oeuvre constituée d’une trentaine de films courts et vidéos.
En collaboration avec le département cinéma de la HEAD – Genève et le FIFDH
Jean-Gabriel Périot: Le pouvoir politiques des images et du cinéma
Jean-Gabriel Périot est l’auteur d’une oeuvre cinématographique au discours résolument politique. Il travaille la question de la mémoire et de la violence et ses rouages à travers des films souvent constitués d’images préexistantes, de photos et films de sources diverses qu’il manipule au montage. Il confronte les spectateurs·rices à la violence de certains épisodes de l’histoire du XXe et XXIème siècle. Il montre des camps de concentration, la jungle de Calais, Hiroshima et les explosions nucléaires, les tondues de la Libération, l’univers carcéral – pour, dit-il: “regarder l’humanité dans ce qu’elle a de plus faillible et de faire de cette souffrance un refus, mais aussi d’en tirer la force d’espérer et d’aimer une humanité si fragile”.
Né en 1974, Jean-Gabriel Périot a commencé sa carrière comme monteur pour des chaînes de télévision françaises avant de réaliser ses films à partir des années 2000. Il a réalisé deux longs métrages: “Une jeunesse allemande” (2015), au sujet de la Fraction armée rouge, et “Lumières d’été” (2016), autour des survivant·e·s japonais·e·s de la bombe atomique. Au coeur de ce cycle rétrospectif dédié au cinéaste, deux programmes de courts métrages détonants révèlent une partie de son oeuvre constituée d’une trentaine de films courts et vidéos.
En collaboration avec le département cinéma de la HEAD – Genève et le FIFDH