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LA SERVANTE ÉCARLATE

THE HANDMAID’S TALE


ven. 8 déc. 2017   23h30

Réalisation
Volker Schlöndorff
Pays
Allemagne
États-Unis
Année
1990
Langue
ST français
VO anglais
Format
Vidéo
Durée
109’
Cycle

FILMS DE MINUIT
SÉANCE PSYCHOTRONIQUE
ENTRÉE LIBRE

FILMS DE MINUIT
SÉANCE PSYCHOTRONIQUE
ENTRÉE LIBRE

Avec Natasha Richardson, Faye Dunaway, Robert Duvall, Elizabeth McGovern

États-Unis, vers la fin du 20e siècle. C’est une époque de guerre civile dans le pays, rebaptisé République de Gilead. Un mouvement totalitaire religieux dirige le pays, malgré les attaques répétées de rebelles. La pollution a rendu 99% de la population stériles. Les femmes encore fécondes sont placées comme reproductrices auprès des chefs de la nation, qui se sont baptisés les «Commandants». Kate, en tentant de fuir vers le Canada, est enlevée à sa famille pour servir de reproductrice au Commandant Fred…

Une séance psychotronique féministe et dystopique ! Tandis que ces jours-ci la série “The Handmaid’s Tale” fait un véritable carton, il est rarement mentionné que le célèbre roman de Margaret Atwood a déjà été adapté à l’écran au tout début des années 90. Avec un générique plutôt impressionnant: le livre a été transposé par le grand dramaturge Harold Pinter (qui n’était pas satisfait du résultat), la musique confiée au non moins grand Ryuichi Sakamoto, et la réalisation assurée par Volker Schlöndorff, alors coqueluche du cinéma européen. Devant la caméra, un casting féminin impérial: Natasha Richardson (“Gothic”, “Patty Hearst”), Faye Dunaway (“Bonnie & Clyde”, “ChinaTown”), Elizabeth McGovern (la future Lady Grantham de “Downton Abbey”)… et dans le rôle du méchant Commandant, rien moins que Robert Duvall (“The Godfather 1 et 2”, “Apocalypse Now”). Avec tous ces arguments, le film est-il plus ou moins intéressant que la série ? À vous de juger !

Pascal Knoerr et Christophe Billeter





Séances psychotroniques

Depuis septembre 2006, les films dits psychotroniques (soit une oeuvre ignorée par l’establishment critique, du fait de son origine obscure ou de sa médiocrité telle que définie par le goût de la majorité comme l’a écrit le critique de cinéma Michael J. Weldon, inventeur du terme) sont montrés à 23h30 le dernier vendredi du mois, en séance gratuite. Tous les genres y sont représentés, films de série B comme nanars de série Z, dans la plus pure tradition du cinéma de minuit.