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LA NUIT PSYCHOTRONIQUE


ven. 28 oct. 2016   21h
Réalisation
Oley Sassone
Del Tenney
Pays
États-Unis
Année
1968
1994
Langue
ST français
VO anglais
Format
Vidéo
Cycle

2006-2016: 10 ANS - 100 FILMS

FILMS PSYCHOTRONIQUES AU SPOUTNIK 2006-2016: 10 ANS – 100 FILMS
NUIT PSYCHOTRONIQUE AVEC PROJECTIONS ET SOIRÉE

ENTRÉE LIBRE

DJs
– JACK LA MENACE
– MAUDITE & OTQRIE
– MOITIÉ | MOITIÉ

Des dérivés italiens et japonais de STAR WARS, des films avec Prince et Bowie ou… Abba et les Village People, Docteur Justice et Doc Savage, du western spaghetti, du giallo, des films en esperanto ou en langage des signes, Marianne Faithfull sur une moto, Alain Delon contre la Mort, les Crados, des lapins tueurs géants, Tintin avec de vrais acteurs, Delphine Seyrig en vampire, Peter Cushing en Dr. Who, Captain America avec un budget ridicule, Alain Bashung dans un univers post-apocalpytique, une comédie musicale sur des cannibales, le Père Noël contre les Martiens…

Depuis septembre 2006, le cinéma Spoutnik de Genève propose chaque dernier vendredi du mois à 23h30, en séance gratuite, des films dits « psychotroniques ». Soit une œuvre ignorée par l’establishment critique, du fait de son origine obscure ou de sa médiocrité telle que définie par le goût de la majorité, comme l’a écrit le spécialiste Michael J. Weldon, inventeur du terme et auteur d’un recueil sur les films psychotroniques. Tous les genres y sont représentés, films de série B comme nanars de série Z, dans la plus pure tradition du cinéma de minuit. On y retrouve des longs métrages au concept absolument improbable, tantôt des erreurs de parcours qu’acteurs et réalisateurs préféreraient oublier, tantôt de véritables petits chefs-d’œuvre. À chaque fois, l’intention des programmateurs (Christophe Billeter et Pascal Knoerr, en charge du Spoutnik de 2006 à 2011) est de célébrer le cinéma dans toute sa diversité, en traversant les pays et les époques, et en s’amusant le plus possible.

Pour célébrer les 10 ans de ces séances et le 100ème film psychotronique projeté, le Spoutnik organise une soirée festive le vendredi 28 octobre, avec la projection de deux films (FANTASTIC FOUR et THE HORROR OF PARTY BEACH) suivie de DJ qui alterneront les ambiances (surf rock, BO, synthés eighties…) sur fond d’extraits de films psychotroniques précédemment montrés.

THE FANTASTIC FOUR
OLEY SASSONE, ÉTATS-UNIS, 1994, 90’, COUL., VIDÉO, VO ANGLAIS STFR

avec Alex Hyde-White, Jay Underwood, Rebecca Staab, Michael Bailey Smith

Une équipe de quatre scientifiques emmenées par Reed Richards s’envole dans l’espace pour observer le passage d’une comète. Bombardés par des rayons cosmiques, ils se retrouvent dotés de super-pouvoirs à leur retour sur Terre. Ils attirent l’attention du maléfique Dr. Doom, qui se révèle être un ancien ami de Richards… Produit par Roger Corman, une version des 4 Fantastiques qui nous rappelle l’époque pas si lointaine où les films Marvel n’avaient pas de moyens. Réalisé dans le seul but de renouveler les droits sur la franchise, ce film n’est d’ailleurs jamais sorti en salles, ni même en vidéo.

fantastic four psychotronique spoutnik

THE HORROR OF PARTY BEACH
DEL TENNEY, ÉTATS-UNIS, 1968, 78’, NB., VIDÉO, VO ANGLAIS STFR

avec John Scott, Alice Lyon, Allen Laurel

C’est la fête sur cette plage du Connecticut : au son du groupe de rock The Del-Aires, on se déhanche et on boit des coups avec des motards. Pendant ce temps, des barils de déchets radioactifs balancés à la mer ramènent à la vie des squelettes de marins, transformés en créatures mi-hommes, mi-poissons. Attirés par l’odeur du sang, ils s’invitent à la fête… Un des plus mauvais, et donc des plus drôles, films de l’histoire du cinéma.

horror of party beach psychotronique spoutnik





Séances psychotroniques

Depuis septembre 2006, les films dits psychotroniques (soit une oeuvre ignorée par l’establishment critique, du fait de son origine obscure ou de sa médiocrité telle que définie par le goût de la majorité comme l’a écrit le critique de cinéma Michael J. Weldon, inventeur du terme) sont montrés à 23h30 le dernier vendredi du mois, en séance gratuite. Tous les genres y sont représentés, films de série B comme nanars de série Z, dans la plus pure tradition du cinéma de minuit.