Chants de révolte et résistance – programme de courts métrages 2


jeu. 14 mars 2019   19H

Réalisation
Jean-Gabriel Périot
Pays
France
Langue
VO français
Format
DCP
Durée
80'
Collaboration

Cycle


Jean-Gabriel Périot: le pouvoir politique des images et du cinéma

jeu. 14 mars 2019, en présence de Jean-Gabriel Périot


Cinq films où le chant s’allie à la révolte, à l’insoumission et l’ébullition intérieure. Des personnes expriment par leurs voix et leurs corps des musiques empreintes d’émotion. “De la joie dans ce combat” suit un groupe de femmes pour qui la musique est un moyen de résister et de sortir de l’isolement. Dans “Nos jours absolument, doivent être illuminés” des détenu·e·s chantent depuis l’intérieur d’une maison d’arrêt pour le public venu les écouter de l’autre côté du mur.

De la joie dans ce combat (2018, 22′)
Song for the jungle (2018, 14′)
Si jamais nous devons disparaitre (2014, 15′)
The Devil (2016, 7′)
Nos jours absolument, doivent être illuminés (2012, 22′)

Jean-Gabriel Périot: le pouvoir politique des images et du cinéma

Jean-Gabriel Périot est l’auteur d’une oeuvre cinématographique au discours résolument politique. Il travaille la question de la mémoire et de la violence et ses rouages à travers des films souvent constitués d’images préexistantes, de photos et films de sources diverses qu’il manipule au montage. Il confronte les spectateurs·rices à la violence de certains épisodes de l’histoire du XXe et XXIème siècle. Il montre des camps de concentration, la jungle de Calais, Hiroshima et les explosions nucléaires, les tondues de la Libération, l’univers carcéral – pour, dit-il: “regarder l’humanité dans ce qu’elle a de plus faillible et de faire de cette souffrance un refus, mais aussi d’en tirer la force d’espérer et d’aimer une humanité si fragile”.

Né en 1974, Jean-Gabriel Périot a commencé sa carrière comme monteur pour des chaînes de télévision françaises avant de réaliser ses films à partir des années 2000. Il a réalisé deux longs métrages: “Une jeunesse allemande” (2015), au sujet de la Fraction armée rouge, et “Lumières d’été” (2016), autour des survivant·e·s japonais·e·s de la bombe atomique. Au coeur de ce cycle rétrospectif dédié au cinéaste, deux programmes de courts métrages détonants révèlent une partie de son oeuvre constituée d’une trentaine de films courts et vidéos.

En collaboration avec le département cinéma de la HEAD – Genève et le FIFDH

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Jean-Gabriel Périot: Le pouvoir politiques des images et du cinéma

Jean-Gabriel Périot est l’auteur d’une oeuvre cinématographique au discours résolument politique. Il travaille la question de la mémoire et de la violence et ses rouages à travers des films souvent constitués d’images préexistantes, de photos et films de sources diverses qu’il manipule au montage. Il confronte les spectateurs·rices à la violence de certains épisodes de l’histoire du XXe et XXIème siècle. Il montre des camps de concentration, la jungle de Calais, Hiroshima et les explosions nucléaires, les tondues de la Libération, l’univers carcéral – pour, dit-il: “regarder l’humanité dans ce qu’elle a de plus faillible et de faire de cette souffrance un refus, mais aussi d’en tirer la force d’espérer et d’aimer une humanité si fragile”.

Né en 1974, Jean-Gabriel Périot a commencé sa carrière comme monteur pour des chaînes de télévision françaises avant de réaliser ses films à partir des années 2000. Il a réalisé deux longs métrages: “Une jeunesse allemande” (2015), au sujet de la Fraction armée rouge, et “Lumières d’été” (2016), autour des survivant·e·s japonais·e·s de la bombe atomique. Au coeur de ce cycle rétrospectif dédié au cinéaste, deux programmes de courts métrages détonants révèlent une partie de son oeuvre constituée d’une trentaine de films courts et vidéos.

En collaboration avec le département cinéma de la HEAD – Genève et le FIFDH