Peter Mettler




Becoming Animal

Univers Parallèles


Ce film est une « expansion de la conscience » cinématographique sans effets secondaires indésirables : il ouvre aux spectateurs une nouvelle perception de l’environnement et leur fait comprendre que les êtres humains ne peuvent exister que dans l’échange constant avec la nature. L’épistémologiste David Abram, les cinéastes Peter Mettler et Emma Davie nous entraînent dans un voyage filmique aussi philosophique qu’immersif.

Picture of Light

Triennale 50JPG - 50 jours pour la photographie du 17 au 20 juin
en collaboration avec le CPG - Centre de la Photographie Genève


La sixième édition des 50JPG aura lieu du 19 juin au 25 août 2019. L’exposition principale tentera de réunir Éros & Cosmos. Sous le titre OSMOSCOSMOS, elle mettra en évidence le trait d’union entre ces deux univers, un lien peu étudié dans nos cultures occidentales, probablement trop marquées par les monothéismes et la culpabilisation développée autour de l’éros visant à mieux soumettre l’individu à l’emprise des églises.

THE END OF TIME

GVA SESSIONS 2015
EN PRÉSENCE DE PETER METTLER


À la fois visionnaire et poétique, “The End of Time” invite les spectat·rices·eurs à étendre leur conscience sur l’insaisissable sujet du temps. Voyage d’exploration avant tout, mêlant science des particules, cosmologie, géologie et démographie, le film nous emmène aux quatre coins du globe, voire même au-delà, entre l’accélérateur de particules du CERN et un site funéraire hindou, un volcan de Hawai et les quartiers abandonés de Détroit.

GAMBLING, GODS AND LSD

GVA SESSIONS 2015
EN PRÉSENCE DE PETER METTLER


Quel est le point commun entre les jeux d’argent, la religion et la drogue? À cette question, Peter Mettler répond avec un long flux d’images et de témoignages à travers les cultures et le temps en cherchant les moyens que se donnent les humain·e·s pour atteindre l’illumination. “Gambling, Gods and LSD” est le compte rendu d’un voyage où le réalisateur superpose le documentaire à la logique, au lyrisme ou à la musique. Cette tentative de retrouver le sens du merveilleux au quotidien résulte en un tableau au parfum d’extase, de plastique, de sexe et de divin.