Maxime Martinot




Le plagiat est nécessaire: programme de courts-métrages

Cycle - la révolte des médiocres


Des films qui observent et participent aux différents conflits asymétriques de notre époque. Pas forcément des films en lutte, mais des films qui « prennent acte », tentent de réfléchir à ces nouveaux usages, et à l’actualité du plagiat, du détournement et du vol comme pratique politique nécessaire dans le domaine de l’image.

Maxime Martinot au Spoutnik le mercredi 29 Mai pour présenter son film « Les Trois contes de Borges »


Après quatre années de formation en ébénisterie, qui l’initient à l’artisanat autant qu’à l’histoire de l’art, Maxime Martinot entre en école préparatoire de cinéma en 2008. Il y rencontre ses futurs camarades, avec qui il va travailler sur de nombreux projets cinématographiques, en échangeant et partageant les rôles dans le processus de fabrication. Il passe par le Collectif COMET, qui produit des films avec un esprit d’indépendance et de liberté de création, et pendant ses quatre années d’études universitaires, jusqu’en 2014, il réalise plusieurs courts-métrages, de l’essai à l’expérimentation. Il vient tout juste de terminer son dernier moyen-métrage de fiction, La Disparition, produit par Don Quichotte Films et sélectionné en première mondiale au festival de Brive en 2018.

Trois contes de Borges

sortie


Les Trois contes de Borges adaptent, dans leur langue originale, trois textes du célèbre écrivain argentin Jorge Luis Borges: El otro, El disco et El libro de arena. Trois récits fantastiques où se monnaient les objets de l’éternité qui, à portée de main, mettent en péril nos rapports au temps, à l’image, au langage.