Activités culturelles de l'UNIGE




Je vais et je viens

un film de Aude Vermeil


un film de Aude Vermeil avec Fabienne Abramovic et Eveline Murenbeeld

Séance de cinéma élargi 1

Focus Yann Beauvais


Le déplacement des bateaux et des métros se conjugue aux mouvements d’appareils et au montage de séquences distinctes d’objets similaires. Ce montage sur un négatif se joue de son doublement – légèrement décalé – produisant ainsi une orchestration de mouvements, de déplacements; une fugue à plusieurs voix.

Séance de cinéma élargi 2

Focus Yann Beauvais


Des images de la Côte d’Azur des années septante se font l’écho d’images de la même côte dans les années cinquante. Des îles italiennes se retrouvent en mer du Nord. La couleur se mélange au noir et blanc, les positifs aux négatifs, les prises personnelles aux plans trouvés, le tout se fondant en un palimpseste dans lequel le temps et l’espace semblent se multiplier à l’infini.

Allegro – Caprices

5 films de Véronique Goël


Entre les mots – le texte (littéraire) et les choses qui apparaissent et disparaissent (paysage, nature, architecture) – des mots qui jamais ne se figent en images cinématographiques ; entre ces mots se développent des espaces, ceux de l’invisible et de l’imaginaire. Allegro, c’est de l’anti-cinéma, au meilleur sens du terme. L’opposition rigoureuse du courant du texte et de celui de l’image, le fait de s’en tenir à ces deux niveaux sans aucun compromis font que le film va au-delà de la simple cinématographie ; il ouvre une dimension nouvelle : celle de ce qui ne peut se traduire en images, de ce qui ne peut pas être dit.

Caprices

5 films de Véronique Goël


Caprices, moyen métrage de la genevoise Véronique Goël, s’élabore dans une interaction image-son très poussée autour du violoncelliste Alexander Balanescu – virtuose ancien membre du Quatuor Arditi – et la musique du compositeur contemporain Salvatore Sciarrino.

7. Films de Jack Chambers et Michael Snow

La part du visuel - films expérimentaux canadiens récents


Snow nous pousse à accepter des moments présents de visible, mais l’unique coup de tambour coïncidant avec chaque coupe dans cette partie élégiaque annonce à chaque instant la disparition irréversible de la vie.

Philip Monk, Art Express